Ma méthode, elle est née exactement là où les team buildings s’arrêtent.
Pas dans un séminaire « cohésion » avec des post-its roses.
Pas dans un bouquin “management en conscience” à 29,90 €.
Elle est née là où tout le monde serre les dents.
Là où les regards fuient la réunion.
Là où le malaise s’installe comme un collègue de trop.
Là où un « ça va ? » veut juste dire :
« Par pitié, dites rien. »
Ç𝗮, 𝗷𝗲 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗰œ𝘂𝗿, 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗷𝗲 𝗹’𝗮𝗶 𝘃𝗲́𝗰𝘂.
• J’ai connu les équipes où le non-dit est une seconde langue.
• Celles où les mails en Cci sont des grenades dégoupillées.
• Celles où il y a des conversation sous-terraines avec des “y’s’prend pour qui lui”?
• Celles où on repart de réunion plus fatigué qu’on y est arrivé.
Alors j’ai arrêté d’attendre une solution miracle.
Je me suis formée à la 𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲́𝗺𝗶𝗲, à la 𝗻𝗲𝘂𝗿𝗼𝗰𝗶𝗴𝗻𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻, à ce qui explique les silences lourds et les dynamiques invisibles.
Et j’ai créé une méthode qui n’invente rien.
Mais qui change tout :
𝟭/ 𝗢𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗮𝘂𝘅 𝗳𝗮𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀
(avant qu’ils deviennent des alertes majeures)
𝟮/ 𝗥𝗲́𝗴𝘂𝗹𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻 𝗱𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁
(sans devenir pompier à temps plein)
𝟯/ 𝗥𝗲𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗹𝗶𝗲𝗻 𝗲𝗻 𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲
(sans karaoké gênant ni PowerPoint tiède)
𝗝’𝗮𝗶𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲𝘀 𝗮̀ 𝘀𝗲 𝗱𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗼𝘀𝗲𝘀. 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗿𝗮𝗶.
𝗘𝘁 𝗷’𝗮𝗶𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗻𝗮𝗴𝗲𝗿𝘀 𝗮̀ 𝗮𝗿𝗿𝗲̂𝘁𝗲𝗿 𝗱’𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗦𝗔𝗠𝗨 𝗲́𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗲́𝗾𝘂𝗶𝗽𝗲.
Parce qu’au fond, ce qui casse une équipe, c’est pas le manque de compétence.
C’est un climat relationnel toxique, des cadres flous, et un silence beaucoup trop poli.
Si tu veux une équipe où les gens arrêtent de faire semblant,
si t’en as marre des séminaires où on se dit tout sans rien dire,
𝗢𝗻 𝘀’𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲. 𝟯𝟬 𝗺𝗶𝗻𝘂𝘁𝗲𝘀.
C’est direct, c’est gratuit, et ça pique juste comme il faut.
Le lien est dans le premier commentaire.
𝗦𝗽𝗼𝗶𝗹𝗲𝗿 : tu risques d’y prendre goût, entschuldigung.
Photos Marion Berdah