𝐄́𝐩𝐮𝐢𝐬𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐚𝐢𝐬 𝐦𝐞𝐬 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐬𝐮𝐫𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟 𝐛𝐚𝐧𝐜𝐚𝐥. --> Des années à faire tampon entre les egos. --> Des années à deviner ce que les gens pensaient sans jamais le dire. --> Des années à sourire quand l’ambiance était irrespirable. Je croyais que c’était ça, être pro. Solide. Dispo. Nickel en surface. Sympa. Se rendre indispensable, rester agréable. 𝑴𝒂𝒊𝒔 𝒄’𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒅𝒖 𝒑𝒓𝒐𝒇𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏𝒏𝒂𝒍𝒊𝒔𝒎𝒆. 𝑪’𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒖𝒓𝒂𝒅𝒂𝒑𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏. Et ça m’a vidée. Physiquement. Mentalement. Moralement. ------- J’ai transformé ce que j’ai vécu en outil. Cette hypervigilance relationnelle, ce radar affûté à capter les tensions larvées, les non-dits, les regards qui fuient… Aujourd’hui, c’est devenu ma force. Je l’utilise pour intervenir avant que ça explose. Dans des équipes où tout semble calme. Trop calme. Et comme disait Numérobis : “J’aime pas trop beaucoup ça.” Je bosse avec : 🔹 Des managers au bout du rouleau (mais toujours en train de “tenir”). 🔹 Des collectifs qui font semblant d’aller bien. 🔹 Des projets qui tournent à vide parce que personne ne dit ce qui bloque. Et à chaque fois, on me dit : “Tu peux venir faire un atelier ? Y’a un truc, mais on sait pas trop ce que c’est…” Et moi, je vois les mêmes mécaniques à l’œuvre : 🔁 On évite. 🔁 On absorbe. 🔁 On s’épuise à faire semblant. Jusqu’à ce que ça lâche. 𝑨𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒅’𝒉𝒖𝒊, 𝒋’𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒗𝒊𝒆𝒏𝒔 𝒒𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒄̧𝒂 𝒄𝒐𝒊𝒏𝒄𝒆 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒄̧𝒂 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒓𝒆 𝒓𝒆𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒓. - Pas besoin d’un stage “leadership inspirationnel au vert”. - Pas besoin d’un cercle de parole en chaussettes. - Pas besoin de 42 slides de powerpoint. Juste : > Un cadre clair. > Des vraies questions. > Un espace où on arrête de jouer. Et où on recommence à faire équipe. Un atelier de régulation, c'est quoi ? – Je prépare le terrain : sujets chauds, zones rouges, angles morts. – J’anime avec tact, humour, et sans détour. – Je nomme l’éléphant dans la pièce. Oui, ça pique. Mais ça soulage. – On repart avec un plan d’action simple. Réaliste. Actionnable. Et si besoin, je reviens. Mais le but, c’est pas de m’installer. 👉 𝑳’𝒐𝒃𝒋𝒆𝒄𝒕𝒊𝒇, 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒍’𝒆́𝒒𝒖𝒊𝒑𝒆 𝒂𝒑𝒑𝒓𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒂̀ 𝒔𝒆 𝑹𝑬-𝑮𝑼-𝑳𝑬𝑹. 𝑺𝒂𝒏𝒔 𝒃𝒆́𝒒𝒖𝒊𝒍𝒍𝒆. 💥 Ce que ça donne ? ✔️ Des équipes qui arrêtent de faire semblant. ✔️ Des managers qui arrêtent de porter pour tout le monde. ✔️ Et un collectif qui redémarre. Pas “comme avant”. En mieux. ------- 𝑻𝒖 𝒔𝒆𝒏𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒄̧𝒂 𝒕𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒊𝒏𝒔 ? 𝑸𝒖𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒍𝒆 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 𝒔𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒏𝒆 𝒑𝒂𝒔 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒃𝒂𝒍𝒂𝒏𝒄𝒆𝒓 ? 𝑸𝒖𝒆 𝒄̧𝒂 𝒎𝒂𝒏𝒒𝒖𝒆 𝒅’𝒂𝒊𝒓, 𝒅𝒆 𝒄𝒂𝒅𝒓𝒆, 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒓𝒐𝒍𝒆 𝒋𝒖𝒔𝒕𝒆 ? 📩 𝑬́𝒄𝒓𝒊𝒔-𝒎𝒐𝒊. 𝑶𝒏 𝒔𝒆 𝒄𝒂𝒍𝒆 30 𝒎𝒊𝒏𝒖𝒕𝒆𝒔. 𝑷𝒂𝒔 𝒅𝒆 𝒔𝒍𝒊𝒅𝒆. 𝑶𝒏 𝒅𝒊𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒕𝒆𝒓𝒎𝒆𝒔. 𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂𝒈𝒊𝒕. Bisous !